post non vérifié par la rédaction

Le Canada dit NON LGV TGV

 

Le droit à la mobilité pour tous : droit à l'accélération, l'intensification, la massification de la pollution des transports

Canada NON LGV TGV

Le droit pour tous à la mobilité inscrit dans la Constitution française, est l'alibi au subventionnement public massif d'un des secteurs industriels les plus polluants, celui des transports.

C'est l'abili suffisant aux pouvoirs publics, emmêlés aux intérêts privés des grands groupes industriels de l'énergie, du transport, et des travaux publics pour justifier le financement et la réalisation d'infrastructures pharaoniques et ruineuses, nécessaires à l'accélération, l'intensification et la massification des moyens de mobilité.

Or, ce processus de développement sans fin des moyens de mobilité est un facteur majeur d'incivilité par le saccage environnemental qu'il implique à charge pour les générations futures.

Pour le droit à pouvoir se libérer des contraintes de transports

Le droit à pouvoir personnellement et collectivement se libérer des contraintes de transports, en un réseau d'activités humaines de proximité est un acte de civilité qui devrait être encouragé et subventionné en taxant l'usage accéléré, intensif, et massif de la mobilité, et cela par l'application de la loi pollueur payeur.

Il ne s'agit d'une décroissante, mais au contraire de la réorientation d'activités économiques pathogènes, vers une économie et des emplois aptes à améliorer notre patrimoine environnemental et socio économique.

Il s'agit donc d'une véritable croissance du bien-être de l'humanité et donc des possibilités personnels de bien être, contrairement au type de croissance pathogène des moyens de transport.

Le continent nord américain n'a pas la même philosophie que nous, et ne reconnait pas le droit pour tous à la mobilité. Le Canada n'a pas donné suite à un projet de LGV Québec Windsor, de 20 Milliards $.

La France, la mobilité pour tous à la folie

La France, pourtant confronté à un risque majeur de faillite financière et économique de la Nation, avec une dette abyssale de 1700 Milliards €, un déficit budgétaire de l'Etat de 95, 3 Milliards € ( sur un budget annuel d'environ 300 Milliards €) continue de vouloir financer un plan de réalisation d'infrastructures à hauteur de 220 Milliards € sur 10 ans. Soyons fous !

Le Canada : NON LGV TGV

OTTAWA – Malgré la volonté de la province, le gouvernement Harper confirme qu’il n’a pas l’intention de mettre sur les rails le projet de train à grande vitesse du corridor Québec-Windsor, dont l’étude a été rendue publique mardi.

L’attaché de presse du ministre fédéral des Transports et de l’Infrastructure, Denis Lebel, a confirmé que le projet de TGV qui fait l’objet depuis plusieurs années de discussions entre Ottawa et les gouvernements ontarien et québécois ne fait pas partie des priorités des conservateurs. Il évoque notamment la situation économique actuelle et les 20 milliards $ qu’il en coûterait pour réaliser le projet.

«Dans ces circonstances fiscales, un nouveau projet d’une telle ampleur n’est pas une priorité pour notre gouvernement», a indiqué par courriel l’attaché de presse du ministre Lebel, Pierre Floréa.

Il a ajouté que le gouvernement s’est néanmoins engagé à offrir des services «plus rapides» pour les passagers de train dans le corridor Québec-Windsor avec des investissements à Via Rail.

Le fédéral a officiellement dévoilé mardi l’étude du consortium EcoTrain, dont le Journal de Québec avait obtenu copie le mois dernier, qui conclut que le corridor est techniquement réalisable.

Dans cette étude mandatée par Ottawa et les gouvernements ontarien et québécois, on apprenait notamment qu’un tel projet coûterait de 18,9 milliards $ à 21,3 milliards $, reliant Québec, Montréal, Toronto et Windsor. Les tronçons les plus viables seraient ceux entre Québec et Toronto et Montréal et Toronto et ceux-ci profiteraient à l’ensemble de l’économie canadienne. Deux scénarios, qui permettaient de transporter chacun 400 passagers par rame, ont notamment été retenus par les auteurs de l’étude.

Malgré les dépenses considérables liées à un tel projet, le ministre québécois responsable de la région de la Capitale-Nationale, Sam Hamad, s’était alors dit convaincu que la région de Québec avait besoin d’un train à grande vitesse même s’il était impossible pour un tel projet d’être rentable.

en espagne pour la ligne lgv des pyrénées:  entartage de la presidente de navarre http://www.lepost.fr/article/2011/11/25/2646330_le-lobby-lgv-tgv-cree-des-emplois-dans-le-spectacle.html